Il n’y a pas à dire, la jeune SCPI Eurovalys exploite le marché immobilier allemand avec succès. Principalement constitué d’actifs de commerces, de bureaux et d’autres immobiliers prometteurs, son patrimoine génère des revenus locatifs croissants, ce qui explique la hausse de sa collecte.
SCPI Eurovalys : des investissements soutenus par un niveau de collecte record
Ce dynamisme de la SCPI Eurovalys a carrément suscité l’intérêt des souscripteurs au cours du second trimestre. La preuve : le montant de sa collecte a largement dépassé le seuil de 28 millions d’euros, propulsant ainsi sa capitalisation à 163 millions d’euros. En glissement annuel, cette Société Civile de Placement Immobilier gérée par Advenis a pu rassembler 67% de fonds supplémentaires, ce qui constitue une véritable base de confiance pour les investisseurs les plus exigeants.
Actuellement, la société investit massivement dans les 7 plus grandes villes d’Allemagne, notamment à Berlin, à Cologne, à Düsseldorf, à Frankfurt, à Hamburg, à Munich et à Stuttgart. Pendant le 1er trimestre 2018, son investissement global s’est établi à 12,3 milliards d’euros, soit un léger recul de 3% par rapport à celui de l’année 2017. Cependant, en termes d’investissements unitaires hors portefeuille, Eurovalys affiche une incroyable performance avec un volume transactionnel évalué à 10,3 milliards d’euros, c’est-à-dire une croissance nette de plus de 12 %.
La ville de Munich est le premier pilier de son exploit avec 2,65 milliards d’euros d’acquisitions, suivie de près par Francfort (1,54 milliard d’euros). Tandis que la troisième place revient à Hambourg avec 1,29 milliard d’euros d’actifs immobiliers acquis, soit un taux de progression de +145 % sur la même période. À noter que les bureaux figurent parmi les actifs les plus plébiscités avec plus de 50 % d’engagement de souscription.
Les autres indicateurs font état d’une excellente situation financière
Grâce à sa vision très ambitieuse, la SCPI Eurovalys voit la plupart de ses indicateurs virer au vert. En ce qui concerne les taux « prime» des actifs comme les bureaux, les chiffres confirment qu’ils sont restés à un niveau nettement plus bas (entre 3 et 3,5 %), en grande partie imputable à la tendance de la demande placée qui emprunte toujours une trajectoire à la hausse (910 000 m² d’actifs loués en Allemagne rien qu’au cours du 1er trimestre 2018).
Résultat : le taux de vacance a fléchi d’un trimestre à l’autre pour s’établir à environ 5 % alors que les loyers ont augmenté en moyenne de 10% en un an dans les sept villes susmentionnées. Enfin, la distribution de dividende a atteint, respectivement, 10 et 15 euros pour les 3e et 4e acomptes.