D’après les données recueillies par PAP.fr, le marché immobilier ancien conserve son dynamisme à fin septembre 2018. En clair, la tendance haussière des prix des logements anciens se poursuit, notamment dans les métropoles de l’Hexagone. Néanmoins, les chiffres sont en baisse dans certaines villes.
La bonne santé du marché immobilier ancien se confirme à fin septembre
PAP.fr, l’un des meilleurs sites de vente immobilière en France, publie chaque mois un bilan complet de l’évolution des prix des logements des grandes villes françaises. En se basant sur 48 178 compromis de vente signés au cours de l’année passée, il a constaté que le marché immobilier ancien a gardé son dynamisme jusqu’à la fin du mois de septembre. Cela s’explique notamment par la hausse des prix des logements anciens dans 19 villes françaises sur 22 (contre 18 sur 22 à la fin du mois d’août 2018). En tout cas, c’est une excellente nouvelle pour les nouveaux investisseurs.
Selon les statistiques relevées par PAP.fr, les prix immobiliers n’ont pas encore progressé dans certaines villes telles que Toulon et Aix-en-Provence depuis le mois d’août dernier. En revanche, la tendance haussière se poursuit à Lyon avec une hausse de 7 % sur un an à fin septembre 2018 contre 7,4 % à fin août. C’est également le cas pour Bordeaux et Nantes, avec des progressions respectives de 6,9 % et 6,1 % à fin septembre dernier, contre 7,2 % et 5,6 % à fin août 2018. À l’heure actuelle,le prix de l’immobilier ancien a franchi la barre des 4 000 €/m² à Lyon, Nice, Aix-en-Provence, Cannes et Bordeaux.
Quid de l’avenir du marché immobilier ancien de France ?
À Paris, les prix immobiliers ont progressé de 5,2 % sur les 12 premiers mois. Les données recueilles par PAP.fr montrent que le prix moyen du mètre carré s’établit à 9 177 €/m² (30/09/2018) dans la capitale. La bonne nouvelle c’est que cette tendance haussière devrait se poursuivre dans les prochains mois à venir. En tout cas, la présidente de PAP, Corinne Jolly, affirme que la demande n’a pas encore faibli à Paris. Elle ajoute que la progression de l’offre neuve est l’un des facteurs qui ont entraîné la baisse annuelle du nombre de transactions à Paris.
L’Agence départementale d’information sur le Logement ou l’Adil de Paris a dévoilé que seuls 250 logements neufs ont été mis en vente au cours du mois de juin dernier. De son côté, le marché immobilier ancien a toujours le vent en poupe grâce à l’augmentation des volumes de ventes dans la plupart des grandes villes de France. Une chose est sûre, l’avenir du marché immobilier ancien s’annonce prometteur.
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