La dernière étude de l’INSEE portant sur l’immobilier et les Français fait peur. La passion de ces derniers pour ce secteur économique tend à multiplier le taux de chômage et de non-emploi sur le territoire de l’Hexagone. Les demandeurs d’emploi souhaitent assurer leur vieux jour en s’inscrivant dans l’immobilier via les SCPI.
Pourtant, ils ne savent pas comment s’y prendre, car ils doutent fort que les revenus octroyés par les parts des SCPI puissent financer leur loyer. Voici donc ce que ces moyens de placement leur proposent.
Passion foudroyante des Français pour la pierre papier
L’INSEE a publié dernièrement dans son étude que les Français comptent parmi les populations les plus attachées aux SCPI. Celles-ci répondant parfaitement à leurs attentes et les soulage de la terrible angoisse sur leur avenir, leur retraite, constituent de ce fait pour eux l’un des meilleurs placements pour leur vieux jour. Cependant, cet enthousiasme des Français à l’égard de la pierre comprend aussi ses points négatifs.
En se concentrant trop sur comment verser de l’argent pour assurer leur retraite, ils tendent à oublier, à négliger leur occupation professionnelle. Ils épargnent plus au lieu de chercher comment assurer une bonne carrière professionnelle. Ce qui conduit, entre autres, à égaliser le taux des chômeurs et des actifs, et le nombre des locataires et des propriétaires. Même situation observée en Allemagne. Bref, tout cela amène à conclure que les Français et les Allemands ne doivent-ils donc pas travailler au lieu d’épargner ?
Pour pallier ce problème, le gouvernement français a décidé de privatiser totalement ou partiellement les Aéroports de Paris et de la Française des Jeux. Cela devrait permettre de rehausser le niveau d’épargne populaire comme dans les années 1986 et 2000 où les nationalisées de 1981 se remettaient sur le marché de l’immobilier et l’État passe à l’ouverture de EDF et de Orange, autrefois nommé France Telecom.
Des titres qui, peu de temps après, et surtout avec l’effondrement de la Bourse en seulement dix ans, perdent leur valeur totale, car leur investissement ne signifie plus rien et leurs plus-values se tardent dans le passé. Bref, une inquiétude plutôt vérifiée…
Épargne-retraite : Les réponses des SCPI…
En réponse à tout ces problèmes, ces doutes qui s’installent, les Sociétés Civiles de Placement Immobilier apportent de leur part que le fait de s’engager à long terme dans l’immobilier pourrait certainement permettre d’accompagner la stratégie des dirigeants et d’en octroyer de résultats satisfaisants. Et dans les 10 à 20 ans d’effort, elles proposent aussi une troisième voie, à part la pierre et les actions, qui consiste à se rendre acteur du financement de l’économie.
Pour ce faire, il suffit de participer au développement des entreprises étant un actionnaire, autant comme ce que font les porteurs de part de SCPI. En retour, les SCPI devraient fournir un siège, des entrepôts et des locaux de sociétés. Elles constitueront un appui fort pour l’industrie du tourisme, l’hôtellerie, les résidences et les parcs de loisirs.
Et contrairement à ce que l’on peut penser, ces placements participent massivement dans les services publics comme dans les constructions d’hôpitaux, de centres de santé, de résidences EHPAD, etc.
Et aucune infliction n’est exercée sur les porteurs de part. De plus, les revenus engendrés par ces moyens de placement sont très attractifs et réguliers. Finalement, tout cela vérifie que les SCPI sont des placements sans risques et sécurisés de quoi assurer sa retraite et mieux envisager sa vie professionnelle.