Selon la dernière étude publiée par Meilleursagents.com, le mois d’octobre a été marqué par une dispersion prononcée des performances. Effectivement, l’indice des prix immobiliers (IPI) a progressé de +5,9 % sur 10 ans, tandis que l’IPI en zones rurales a chuté de 7,9 %. La bonne nouvelle c’est que la tendance haussière des prix immobiliers se poursuit dans les grandes métropoles.
La tendance haussière dans les grandes métropoles se confirme au mois d’octobre 2018
Meilleursagents.com est un géant français de l’estimation immobilière puisqu’il collabore avec plus de 11 000 agences immobilières. Le conseil scientifique de ce portail internet a décidé d’enquêter sur l’évolution des prix immobiliers dans les grandes villes françaises. D’après la dernière étude réalisée donc, une forte dispersion des performances a été observée au mois d’octobre 2018. En réalité, les prix flambent dans les grandes métropoles : Montpellier (+0,5 % à 2 746 €/m²), Nice (+0,5 % à 4 149 €/m2), Lyon (+0,5 % à 4 053 €/m2), Paris (+0,4 % à 9 353 €/m2), Strasbourg (+0,3 % à 2 798 €/m2) et Toulouse (+0,3 % à 2 858 €/m2).
Quoi qu’il en soit, la hausse des prix immobiliers semble ralentie dans certaines villes telles que Marseille (-0,6 % à 2 596 €/m²), Nantes (-0,4 %) et Bordeaux (-0,2 % à 4 282 €/m²).Bien entendu, cela ne plaît pas beaucoup à certains investisseurs.
Les prix immobiliers sont en ordre dispersé au cours du mois d’octobre : pourquoi ?
Il est encore trop tôt pour dire que la forte dispersion géographique des prix immobiliers au mois d’octobre dernier est une mauvaise nouvelle pour les porteurs de projets immobiliers ou pour les primo-accédants. Il faut retenir que les prix sont en hausse dans la plupart des grandes villes Françaises, notamment à Montpellier, à Nice, à Toulouse, à Lyon, à Strasbourg et, bien entendu, à Paris. Concrètement, cette dispersion des performances s’explique par le ralentissement de l’IPI (indice des prix immobiliers) en France (-0,1 %).
Les biens localisés en zone rurale enregistrent, eux, une baisse de–0,2 % (contre +0,1 % pour l’IPI Top 10 et +0,4 % pour Paris). L’IPI Top 50 a augmenté de 3,3 % et l’IPI Top 10 a progressé de 17 %. En tout cas, Paris reste la meilleure étant donné qu’elle enregistre une forte hausse de 43,3 %. Au final, les plus grandes métropoles ont affiché une bonne performance au cours du mois d’octobre dernier.
Malgré un léger coup de froid du marché immobilier à Nantes, à Marseille et à Bordeaux, c’est toujours le bon moment pour se lancer dans l’immobilier locatif. Car, primo, les taux d’emprunt sont toujours bas. Deuxio, il existe différents modes de financement immobilier adaptés aux besoins des investisseurs.
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